Guerre

Les enfants de l'Union sacrée

En 1914-1918, les enfants aussi ont « fait la guerre ». Véritables combattants parvenus au front par hasard, ou héros légendaires inventés de toutes pièces par la propagande officielle, ils témoignent de l'engagement de tout un pays dans ce qui apparaît alors comme une croisade contre la barbarie.

De Verdun à Bagdad. Information, censure et propagande

En période de guerre, le contrôle de l'information est un enjeu brûlant. On le voit avec l'Irak. Le phénomène n'est pas nouveau. Pendant la Grande Guerre, en France, l'État a organisé officiellement la dissimulation des réalités les plus crues du conflit. Un conflit auquel est consacré le numéro 21 des Collections de L'Histoire*.

Le siècle de l'or noir

Le pétrole est entré dans l'histoire en 1859. Il n'en est jamais sorti. Matière première indispensable à l'industrie, enjeu de puissance ou instrument de pression, le précieux « or noir » a imprimé sa marque sur le XXe siècle.

La retraite de Russie : un désastre

En octobre 1812, Napoléon quitte Moscou, où il était entré victorieux un mois plus tôt, à la tête de la Grande Armée. C'est le début d'une terrible retraite. Des dizaines de milliers d'hommes y perdront la vie, victimes du froid, de la faim et des attaques incessantes des Cosaques.

Le pillage, la vengeance et la guerre

Georges Duby, et bien d'autres historiens après lui, ont insisté sur la violence et les guerres incessantes qui ont accompagné, en l'An Mil, la naissance de la société féodale. Dominique Barthélemy conteste, sur ce point, son prédécesseur. Pour lui, la grande mutation de l'An Mil n'a pas eu lieu. Et les guerres du temps des chevaliers ne sont ni plus nombreuses ni plus déréglées qu'en d'autres temps.

Tout est perdu sauf l'honneur...

Au XVIe siècle, la chevalerie ne survit que par le sentiment de l'honneur, un mélange complexe de vertu guerrière et de réputation. Héritage précieux autant qu'ambigu, légué par les hommes de guerre du Moyen Age à la noblesse européenne.

La grande foire des tournois

Au XIIe siècle, les tournois ont la violence de vraies batailles. Et l'on n'y meurt pas moins qu'à la guerre ! Mais, dans ces « détestables foires » à la mort et au plaisir, les chevaliers jouent aussi leur fortune.