Le choix de Herzl
Trop orientale, trop cosmopolite, trop « juive » : jusqu'en 1914 au moins, Jérusalem n'attire ni Theodor Herzl ni ses disciples sionistes, qui lui préféraient Jaffa ou Tel-Aviv.
Trop orientale, trop cosmopolite, trop « juive » : jusqu'en 1914 au moins, Jérusalem n'attire ni Theodor Herzl ni ses disciples sionistes, qui lui préféraient Jaffa ou Tel-Aviv.
Six personnalités se risquent à imaginer pour L'Histoire l'avenir de la Ville sainte.
En 63 av. J.-C., Jérusalem, devenue romaine, occupe une place à part dans l'empire, qui reconnaît la spécificité de la religion juive. Mais, entre la ville et Rome, les relations ne cessent de s'envenimer. Les choses s'aggravent encore après la mort d'Hérode.
Comme la plupart des voyageurs occidentaux, Gustave Flaubert ne reconnaît pas en Jérusalem la ville qu'il avait imaginée.
Vers 9 heures, ce 15 juillet, les croisés prennent pied sur les murailles.
Reconstitution des dernières heures de Jésus. Et du chemin de croix tel qu'il a été fixé au Moyen Age.
C'est au tournant des années 1100, à l'époque des croisades, que l'Occident chrétien se recentre autour de la terre du Christ dont il s'approprie les Lieux saints.
Pas toujours facile d'effectuer son travail d'archéologue à Jérusalem. Les enjeux politiques et religieux s'interposent souvent. Entretien avec Dan Bahat.
Dans l'islam, la ville du Temple tient une place à part. Mais ce n'est qu'au Xe siècle qu'elle devient un enjeu.
Conquise par Alexandre le Grand, Jérusalem vit durant deux cents ans sous domination grecque, sans renoncer à sa religion.
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