Jérusalem

Le choix de Herzl

Trop orientale, trop cosmopolite, trop « juive » : jusqu'en 1914 au moins, Jérusalem n'attire ni Theodor Herzl ni ses disciples sionistes, qui lui préféraient Jaffa ou Tel-Aviv.

La ville ingouvernable de l'Empire romain

En 63 av. J.-C., Jérusalem, devenue romaine, occupe une place à part dans l'empire, qui reconnaît la spécificité de la religion juive. Mais, entre la ville et Rome, les relations ne cessent de s'envenimer. Les choses s'aggravent encore après la mort d'Hérode.