Du côté des médecins
Les médecins arabes n'ont pas seulement traduit les classiques grecs. A côté des oulémas, ils ont su s'imposer comme de véritables autorités sur le corps. En prenant parfois des libertés avec le texte sacré.
Les médecins arabes n'ont pas seulement traduit les classiques grecs. A côté des oulémas, ils ont su s'imposer comme de véritables autorités sur le corps. En prenant parfois des libertés avec le texte sacré.
Une exposition en Belgique et un formidable catalogue remettent en lumière le médecin grec qui bouleversa les pratiques de l'Empire romain.
Un commerce des plus lucratifs, une révolution dans la pensée médicale, une affaire d'État, une catastrophe écologique : au XVIIe-XVIIIe siècle, l'écorce du Nouveau Monde a bouleversé les deux rives de l'Atlantique.
La fameuse insulte du capitaine Haddock correspond à une pathologie véritable, étudiée depuis le XIXe siècle mais pour laquelle le remède, simple, a mis longtemps à émerger. Dans l'intervalle, les « crétins » ont aussi tendu un miroir à notre société.
Signe de jeunesse et de bonne santé, la beauté du teint était, à Rome, un ingrédient essentiel de la beauté féminine. Les matrones apportaient à l'entretien de leur peau un soin méticuleux. Quitte à l'enduire de substances qui nous paraissent aujourd'hui bien exotiques !
Qu'est-ce donc que cette nostalgie dont mouraient par centaines les soldats des guerres napoléoniennes ou de la guerre d'Algérie ? Cette « maladie » nous en dit long sur l'histoire de la médecine, de la guerre mais aussi des sensibilités.
Avant de devenir un loisir de masse, le bain de mer, au milieu du XIXe siècle, fut une pratique médicale très encadrée, réservée aux plus téméraires. Et d'abord en Bretagne, réputée « tonique et vivifiante ».
Pendant la Seconde Guerre mondiale, à l'est du Cameroun, le docteur David voulut créer une société idéale au nom de la santé.
Une loi va être discutée en novembre 2016, qui pourrait rendre facultatifs certains vaccins obligatoires. Un tournant dans l'histoire française.
Loin de l'image d'un Empire romain féru d'hygiène, les scientifiques s'intéressent aujourd'hui aux parasites qui pullulaient dans les thermes.
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