L'islam n'est pas né dans un désert !
Un siècle avant Mahomet, l'Arabie n'est pas un désert mais une terre déjà largement pénétrée par les grandes religions monothéistes, ouverte aux influences culturelles.
Un siècle avant Mahomet, l'Arabie n'est pas un désert mais une terre déjà largement pénétrée par les grandes religions monothéistes, ouverte aux influences culturelles.
Au Moyen Age, être chrétien n'est pas un choix. L'Église est devenue la puissance dominante d'Occident. Elle organise l'ensemble de la vie sociale. Au point que nul ne peut s'y soustraire sans risque.
La foi des chrétiens d’aujourd’hui n’a pas grand-chose à voir avec celle des hommes d’autrefois. Mais le Dieu médiéval a influencé en profondeur, et dans tous les domaines, l’histoire de l’Europe.
Dieu le Père, Christ en majesté ou crucifié... Le christianisme est la première religion à avoir osé représenter Dieu. Et, entre le ve et le XVe siècle, il ne s’en est pas privé ! Comment expliquer cette prolifération ?
Si les Juifs, tolérés - en principe - mais humiliés, ont maintenu leur foi, ils le doivent à leurs théologiens. Mais aussi à la cohésion que favorisaient les multiples prescriptions de leur religion.
La religion est pour les hommes du Moyen Age moins une question de foi explicite que de gestes, de paroles et de rituels. Avec une croyance : la survie après la mort. Un impératif : préparer son salut dans la vie ici-bas. Et une peur : celle de l'enfer.
Dans quelle mesure le paganisme a-t-il résisté à la christianisation de l'Europe ? Jean-Pierre Poly traque, dans la langue médiévale ou dans les comptines, les traces d'un chamanisme originaire du nord de l'Europe, qui aurait persisté jusqu'au XIe siècle au moins. Une thèse audacieuse, qui fera couler beaucoup d'encre.
En Suède, à la fin du Moyen Age, les rois étaient élus. Nommés par les membres de l'aristocratie, ils étaient élevés sur une pierre, à la vue de tous, avant d'être couronnés. Ce procédé a permis à l'aristocratie de limiter le pouvoir du roi.
La somptueuse Florence de la Renaissance a bénéficié, au XIVe siècle, des richesses des campagnes environnantes. Un vaste marché économique que les travaux pionniers de Charles-Marie de La Roncière, enfin publiés intégralement, permettent de cerner*.
L'écriture des Précolombiens défie nos conventions. Au point que certains savants refusent toujours d'y voir autre chose qu'un « aide-mémoire ».
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