Napoléon Ier

Napoléon joue son va-tout

Au printemps 1815, Napoléon est réinstallé aux Tuileries, mais le coeur n'y est plus. Ses fidèles renâclent. Son nouvel « Empire libéral » ne lui convient pas. Même le faste qu'il souhaite donner à son retour sonne faux. La seule issue qu'il discerne : la guerre.

Il revient ! qu'en pensent les Français ?

Napoléon s'enfuit de l'île d'Elbe le 26 février 1815, débarque en Provence le 1er mars et atteint Paris le 20. Peut-on croire à l'enthousiasme rapporté par toute une tradition historiographique ? Le débarquement semble surtout avoir pris les Français de court.

Treize jours pour abdiquer

Selon un mythe tenace, ce sont ses maréchaux qui auraient forcé Napoléon à abdiquer. Pas si simple, si l'on en croit les Mémoires de Caulaincourt, qui joua un rôle clé dans ces jours cruciaux.

Qu'allait-il faire en Russie ?

En 1812, l'Empire français se trouve à son apogée. Excepté l'Angleterre, il est en paix avec ses voisins. Napoléon lui-même est comblé avec la naissance d'un héritier. Pourquoi décide-t-il alors de rouvrir les hostilités contre la Russie ?

Le dimanche de Waterloo

L'aventure des Cent-Jours finit dans un désastre militaire le 18 juin 1815. Napoléon est épuisé, il abdique trois jours plus tard. Cette fois, l'Empire est bien mort. Il a duré quinze ans.

L'Empereur et le gardien de phare

Le gardien de phare devra tenir un journal de bord, veiller à la bonne marche de son feu, respecter un régime alimentaire... Il y a deux cents ans, le service des phares était organisé à l'initiative de Napoléon. Des tours d'une subite importance, au lendemain de la défaite navale de Trafalgar !