Napoléon(s) : propagande artistique
L'art au service de l'empire.
L'art au service de l'empire.
Ou comment l'Empereur a forgé sa légende.
Le musée de l'Armée présente la dernière demeure de Napoléon à Sainte-Hélène.
Dreyfus ne fut pas un forçat comme les autres. Mais, une fois son innocence reconnue, la dureté de sa détention et la rigueur de sa surveillance contribuèrent à donner de la Guyane l'image d'une rive maudite.
Quel bilan peut-on faire des quinze années du Consulat et de l'Empire ? Lionel Jospin, qui vient de publier Le Mal napoléonien, a accepté d'en débattre avec les historiens Jean Tulard et Michel Winock. Débat entre Lionel Jospin, Jean Tulard et Michel Winock
L'Empereur incarne des figures aussi variées que contradictoires : il est sauveur et guerrier, prophète et législateur, symbole de la grandeur monarchique et incarnation de l'idéal républicain.
Malgré la restauration de la monarchie, Napoléon a profondément marqué les institutions. Mais le conquérant a aussi laissé un vide, difficile à combler.
Au beau milieu de l'océan Atlantique, l'île où fut exilé l'Empereur, d'octobre 1815 jusqu'à sa mort le 5 mai 1821, est devenue un lieu de pèlerinage. En 2016, elle sera accessible par avion.
Que reste-t-il à Napoléon au soir du 18 juin 1815, après Waterloo ? Pourquoi a-t-il décidé de renoncer à se battre ? Comment le régime s'effondre-t-il ?
C'est la bataille que Napoléon devait remporter facilement. Ce fut pourtant le lieu de la chute. Quelles furent, ce dimanche 18 juin, les erreurs du « génie de la guerre » ?
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