200 000 soldats noirs
Le principe retenu dans l'armée américaine était celui de la ségrégation. Mais, pour les 200 000 soldats noirs qui débarquent, la découverte de la société française fut une bouffée de liberté.
Le principe retenu dans l'armée américaine était celui de la ségrégation. Mais, pour les 200 000 soldats noirs qui débarquent, la découverte de la société française fut une bouffée de liberté.
En 1928, Louis Wirth est le premier à parler de « ghetto » pour décrire les quartiers pauvres et noirs américains.
Ce brûlot contre le lynchage des Noirs, réalisé dans les années 1930, sort enfin en France.
L'esclavage n'a pas toujours été noir. Mais le commerce massif des Africains et la traite atlantique, exclusivement composée d'esclaves noirs, firent naître une nouvelle vision de l'humanité. Le colonialisme inventerait ensuite la race.
Le Sahara fut, durant plus de mille ans, le théâtre tragique de la traite négrière.
L'armée a longtemps traité les Afro-Américains comme des soldats de seconde zone. Elle est aujourd'hui un moyen d'ascension sociale pour les minorités.
Un documentaire en trois parties qui balaie un siècle de la présence noire en France. A partir du 5 février sur France 5.
Les États-Unis sortent exsangues des quatre années de guerre. Le Sud, en particulier, est dévasté. La réconciliation sera longue à s'accomplir. Les Noirs, tout juste affranchis, en seront les grands perdants.
En 1848, la République octroie des droits civiques à ses anciens esclaves, qui deviennent des « citoyens colonisés ». Un étrange statut qui, dans les faits, ne change pas grand-chose à leur quotidien.
Beaucoup de Noirs aux Antilles ont été affranchis. Certains deviennent propriétaires de plantations. Avant que leur divorce avec les Blancs ne les hisse à la tête des révoltes contre la métropole.
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