1916, l'année des batailles
Ce fut un tournant décisif. A Verdun, mais aussi dans la Somme, les Balkans ou sur mer, le conflit change de nature et s'inscrit au coeur d'une stratégie mondiale.
Ce fut un tournant décisif. A Verdun, mais aussi dans la Somme, les Balkans ou sur mer, le conflit change de nature et s'inscrit au coeur d'une stratégie mondiale.
Certes, les Casques bleus n'ont pas été institués dans un esprit pacifiste et, depuis 1945, la nature des conflits a bien évolué. Mais, explique Jean-Marie Guéhenno, en charge du maintien de la paix à l'ONU de 2002 à 2008, les Nations unies constituent le meilleur moyen pour empêcher la guerre.
Rumeurs ou réalités ? Les chroniques laissent sentir l'angoisse de la population face aux exactions des soldats. Une peur particulièrement exacerbée lors de la guerre de Cent Ans.
L'échec de la campagne de Gallipoli ne fit qu'ajouter à sa grandeur tragique. Baptême du feu de la jeune nation, elle donna naissance dès 1915 à la figure héroïque du soldat australien.
La terrifiante efficacité des armes modernes transforme rapidement le conflit en guerre défensive. Un nouveau type de combattant apparaît : couché sous le feu, aussi invisible que possible...
Les tirailleurs sénégalais subirent des pertes équivalentes à celles de l'ensemble de l'armée française. Reste qu'à la fin du conflit c'est eux qu'on envoya prioritairement en première ligne.
Les armes à feu acquièrent un rôle décisif sous le règne de Louis XIV, tandis que la noblesse militaire, domestiquée, se professionnalise. L'art de la guerre accomplit sa révolution.
La présence de l'armée américaine au Havre en 1944-1946 suscita bien des conflits.
L'armée a longtemps traité les Afro-Américains comme des soldats de seconde zone. Elle est aujourd'hui un moyen d'ascension sociale pour les minorités.
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