Communisme

Pol Pot et la destruction du Cambodge

Pendant près de quatre ans, de 1975 à 1979, un régime de terreur et de destruction décime le Cambodge. Forgé dans la lutte contre les Français puis contre les Américains, le communisme khmer accède au pouvoir avec Pol Pot. Pour commettre un génocide.

Le cas Boudarel

En février 1991, un ancien officier de l'armée française met en accusation un universitaire parisien en qui il reconnaît un ancien militant du Vietminh chargé de la rééducation politique des prisonniers. Sur fond de déclin de l'idéal communiste, la voix des anciens combattants de l'Indochine commence à se faire entendre.

Le XXe siècle commence en 1914

La Première Guerre mondiale a produit le communisme et le fascisme. Nées de l'ébranlement du conflit, ces deux idéologies totalitaires bouleverseront l'histoire du XXe siècle. La guerre a peut-être porté un coup fatal à l'humanisme démocratique.

Cet accouchement venu d'URSS

En 1952, l'accouchement sans douleur était expérimenté en France. Il représenta un progrès réel pour des millions de femmes. Et un enjeu très politique ! Car la méthode, importée d'URSS en pleine guerre froide, suscita l'enthousiasme des communistes, et fut dénoncée par leurs adversaires comme un moyen de propagande.

C'est la faute à Lénine !

On a longtemps imputé à Staline la responsabilité de tous les crimes du communisme soviétique et de son échec final. Une légende aujourd'hui mise à mal par les travaux des historiens. Et que démonte méthodiquement le film de Daniel Leconte diffusé le mardi 16 octobre à 20 h 50 sur Arte.

Camps, famine et terreur en Corée du Nord

Née de la défaite japonaise en 1945, la Corée du Nord déclenche en 1950 le plus grand conflit armé de la guerre froide. Elle a assuré, dans l'indifférence générale, une implacable dictature et provoqué un désastre économique. Totalement isolé depuis l'effondrement du communisme européen, le pays est aujourd'hui à genoux. Radiographie d'un désastre qui remonte à un demi-siècle.

La patrie russe de Nicolas Werth

Son père, qui avait quitté la Russie en 1918, fut correspondant de guerre anglais sur le front de l'Est pendant la Seconde Guerre mondiale. Sa mère, une diplomate britannique en poste à Moscou. A travers son oeuvre magistrale sur la société soviétique, Nicolas Werth est revenu, depuis plus de vingt ans, à son pays d'origine.