L'homme et son corps
Quelle place la société traditionnelle réservait-elle, dans ses us et coutumes populaires, au corps et à l'enfant ? Le livre de Françoise Loux apporte sur ce thème de nouvelles précisions*.
Quelle place la société traditionnelle réservait-elle, dans ses us et coutumes populaires, au corps et à l'enfant ? Le livre de Françoise Loux apporte sur ce thème de nouvelles précisions*.
Depuis quelques années, on peut visiter, à Paris, un superbe musée. Une sorte de Maison de la poste où philatélistes et curieux découvrent la grande histoire des relations postales, des origines médiévales à... l'an 2000.
Dès les tout derniers jours d'avril, les meilleurs lycéens de 1re et de terminale affronteront les épreuves du Concours Général. L'institution est aujourd'hui plus de deux fois centenaire. Son histoire en dit long sur l'enseignement français.
800 000 pianos sont produits annuellement dans le monde, mais en France une seule maison en construit encore. En 1847, à l'apogée de la période artisanale, le nombre des facteurs français approchait les deux cents, et la seule firme Pleyel sortait annuellement plus de 25 000 pianos à la fin du siècle. Pourquoi cette vogue passée ?
« Tirer un bon numéro », « quiller », «trouver blanque »... Après avoir dévoilé « depuis quand on tirait des plans sur la comète », (L'Histoire n° 16), Claudine Caillet s'aventure dans les jeux de hasard et le vocabulaire de la conscription.
Depuis le XIe siècle, les villes se multiplient dans la chrétienté. Autant de lieux où le péché et l'hérésie prospèrent. Au XIIIe siècle, voici donc les ordres mendiants, dominicains, franciscains, augustins... Mais résisteront-ils, eux-mêmes, au poison citadin ?
Le dimanche des Rameaux (le 30 mars, cette année) un des jours où traditionnellement les églises de France sont pleines. C'est qu'on en revient avec le buis bénit...
L'histoire de l'Algérie coioniaïe sort de la légende - la rose et la noire. On sait mieux, notamment, aujourd'hui, qui étaient ces « colons » qu'on appellera les Pieds-Noirs. Les derniers livres parus nous en offrent un portrait bigarré.
II est temps d'admettre que centres miniers et usines textiles du XIXe siècle sont un patrimoine à conserver.
On le sait grâce à Michel Foucault : il a fallu attendre le XVIIe siècle pour enfermer le fou. Avant, révèle le beau livre de Claude Quétel et Pierre Morel*, le dément était libre, intégré à la cité et soigné dans une atmosphère de joie, de fête ou de kermesse.
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