Criminalité

La rumeur de Paris : rapts d'enfants en 1750

En 1750, de mystérieuses disparitions a enfants faisaient vivre les Parisiens dans l'angoisse. A quoi étaient destinées ces jeunes proies? A d'obscures expériences de dissection? A de périlleux voyages outre-mer? Ou tout simplement à servir dans les armées du roi?

Les bagnes de Guyane

« Transportés », « relégués » ou « déportés », ils furent près de 70000 pendant presque un siècle à subir leur peine dans les pénitenciers de Guyane. Terrible univers de répression, dérisoire instrument de colonisation, le bagne est aussi l'histoire d'une tragédie humaine.

Le « Grand Siècle » des empoisonneuses

Arsenic, orpiment, sublimé, eau-jorte... Avec leur reient de satanisme, les procès d'empoisonneurs - comme celui de Marie Besnard - continuent à fasciner. Au Grand Siècle, les poisons étaient une « arme sournoise » pour les femmes qui voulaient échapper aux maris que la société leur avait imposés.

Les profanateurs de l'Ancienne France

Les fréquentes profanations de cimetières surprennent et indignent. Dans l'ancienne France, tout ou presque était permis dans la demeure des morts : bivouac des armées, danses, banquets. Mais gare aux profanateurs ! On ne réveillait pas un dormeur assoupi en attente de Résurrection.

L'affaire Troppmann (1869)

Un fait divers en forme d'apoiogue social, un feuilleton de série noire qui met en scène tous les phantasmes de i'époque, telle apparaît l'affaire Troppmann, l'« affreux crime de Pantin », qui défraya la chronique au crépuscule du Second Empire.

Septembre, le mois des champignons

Les Grecs aimaient les truffes. Les Romains furent de redoutables chercheurs de champignons. Et les Toscans en sont restés jusqu'à nos jours les plus subtils accommodeurs. Derrière la capricieuse moisissure se cache une page d'histoire.

Le droit de grâce au Moyen Age

Aujourd'hui, seul le président de la République peut sauver la tête d'un condamné à mort. Déjà au Moyen Age, le roi pouvait gracier un condamné en lui attribuant une lettre de grâce ou « lettre de rémission ». Ces lettres, admirablement bien conservées dans les grands registres de parchemin du Trésor des chartes aux Archives nationales, nous font connaître la cohorte de détenus qui étaient graciés par le roi.