Croisade

Le roman vrai de Mélusine

La belle histoire de la fée Mélusine, rédigée pour Jean de Berry, l'un des plus fastueux seigneurs du royaume à la fin du XIVe siècle, s'éclaire à la lumière de la guerre de Cent Ans et du mythe de la croisade. Enquête sur le sens d'un conte.

Drôle de déclin !

Après 1204 et le sac de la ville par les croisés, Constantinople est en sursis. Divisé, appauvri, l'empire dure encore deux cent cinquante ans. Des siècles de floraison artistique et religieuse où, face à l'avancée turque, la survie s'organise.

La peur de l'islam au Moyen Age

En 622 surgit une nouvelle religion, guidée par un prophète que les chrétiens appellent Mahomet. Peu à peu, l'islam est perçu en Occident comme un châtiment divin. Un argument de plus pour lancer les chevaliers dans la vaste entreprise des croisades.

Le sac de Constantinople

Partis pour reprendre Jérusalem aux « infidèles », les croisés mettent à sac la capitale de l'Empire byzantin. Même le pape ne peut empêcher ce déchaînement de violence entre chrétiens.

Pèlerin, n'oublie pas Jérusalem !

Les croisés qui se mettent en marche à l'appel d'Urbain II perpétuent une tradition. Celle de ces milliers de pèlerins qui, depuis le IVe siècle, partaient pour Jérusalem. Tout au long du Moyen Age, la place prise par la ville sainte dans l'imaginaire et la spiritualité de l'Occident ne cesse de grandir.

La grande offensive de l'Occident en Méditerranée

Aux origines de la croisade, il y a aussi la formidable expansion démographique, économique et militaire de l'Europe féodale. Avant même l'appel d'Urbain II à la fin du XIe siècle, un peu partout en Occident, en Espagne, en Italie, en Sicile, les chrétiens reprennent l'avantage sur les musulmans.